Monday, February 06, 2006

Giving Lebanon a Chance










General Michel Aoun, the leader of the Free Patriotic Movement which took 75 percent of the Christian vote in the last elections, met with the leader of Hezbollah, Sheikh Hassan Nassrallah, in the Mar Mkhayel (St. Michael) Church in Chiyah.

At first I thought that the meeting was absurd, but after the press conference it became clear to me that this act has not only eased sectarian tensions but has also paved the way for a real dialogue between the Lebanese.

This morning while in Achrafieh most Christians I met held the whole Sunni community responsible for what happened yesterday. I heard comments like "we cannot live with them" and "the best thing is to immigrate to Canada".
A lot of people blamed the government for not breaking the riot by force of arms without thinking of the consequences. If any of the rioters had died, the gates of hell would have opened.
This, however, does not mean that the government is blameless. Indeed much better preventive measures should have been taken that would have limited the demonstration to law abiding citizens.
The Minister of the Interior resigned and the government vowed to compensate all local businesses and private citizens that were affected but that is not enough for Aoun.

However, the meeting this evening between the Sayyed and the General is truly historic and has resurected in me hope for an independent, free, liberal and strong Lebanon.

May God protect those two leaders (from car bombs) -because they truly behaved like ones today- and the paper that was agreed upon between the two sides which tackles important subjects like the weapons of the resistance, the right of Lebanese immigrants to vote, the way to deal with the Lebanese collaborators that have escaped to Israel after the liberation of the South, corruption and the relation with Syria in a very serious and systematic way.

A plan for a new Lebanon has been written between two major representatives of the Lebanese people. Maybe Saad Hariri, Walid Jumblat and Samir Geagea will be intelligent enough and free enough to grab the opportunity and build upon it.

Let us give Lebanon a chance.

8 Comments:

Anonymous Anonymous said...

I cannot beleive this rhetoric!!!

What on earth can the General do that would satisfy you. Well I guess nothing now. Your blind subservient hatred towards the Genral has been so evident and frankly disgusting.

So if he doesn't meet with Hizbullah, thet say , 'oh how can he become President when he has animosity with a large portion of the Lebanese society'. And if he does, well then how can he meet with people that still support Syria, he is a Syrian puppet now.
If he rapidly goes to the defence MAronite church on behalf of the Christians its, 'Oh look he is doing it for election reasons', and if he doesn't, well then how can he claim that he represents 70 percent of chritians while he doesnt even defend his people in time of need.

So dammed if u do and dammed if u dont!!!
People ENOUGH IS ENOUGH!!!

We are not stupid, we know this childish game, it will not work, it is just another execuse to use when the General wins the baabda-elections.


regards,
Charbel

06 February, 2006 19:09  
Blogger Raja said...

charbel,

I don't think you read the entry. In fact, "charbel", I've read a similar comment posted by you somewhere before - almost a copy!

Be a little more original next time. And read the post, before you copy-paste something.

06 February, 2006 20:14  
Anonymous Anonymous said...

um Charbel?

Have you been smoking the carpet? Zadig is praising the General (not that I agree with him though).

06 February, 2006 20:58  
Blogger zadigvoltaire said...

I am as confused as you are doha. I live day by day and I like to give people a chance.
After all if Walid Jumblat and Samir Geagea came through for Lebanon, I am sure that Nasrallah will also one day.
This is why I praise him when he does something good and condemn him when he does or says something bad.

06 February, 2006 21:51  
Anonymous Anonymous said...

Hmmmm....So now, the meeting of pill popping looney schizoid, Michel Aoun, and Ahmadinejad loving goofball Syrian dog, Nasrallah is a "historic meeting...paving the way to a LIBERAL lebanon"....huh? I am guessing that some decent grass is circulating in the country...People, what the hell are you smoking?? What regional or global credibility do these two have...? What can this pair bring to the Lebanese economy? Give me a bloody break, yellow and orange=puke!

06 February, 2006 22:07  
Anonymous Anonymous said...

the people critizing aoun should read that article

Les Chrétiens ne sont pas dupes.les Musulmans non plus !
Tayyar.org informs you that the article below is an independent opinion
expressed by our readers
06 Février 2006 Nadim Freiha
Au moment où le Moyen Orient baigne dans le tumulte croissant des guerres et
conflits, les évènements dont le Liban a été témoin dimanche semblent tirer
la sonnette d'alarme pour la soi-disant majorité représentant principalement
le Courant du Futur, les Forces Libanaises et le Parti Socialiste
Progressiste. En fait, face aux hordes fanatiques déchaînées dans le cour
chrétien de Beyrouth, le silence des forces de l'ordre - qui dans le passé n'hésitaient
pas à utiliser tout genre de force contre les jeunes universitaires
aounistes revendiquant l'indépendance de leur pays- forces agissant sous l'ordre
du gouvernement, relève non d'une indifférence de la part de la part de
cette présumée majorité mais plutôt d'une complicité dont les enjeux
politiques ne mènent le pays qu'à la dérive. Mais comme le montre si bien le
Général Aoun et comme le démontre le peuple libanais - chrétien aussi bien
que musulman - le temps des magouilles politiques basses et viles est révolu
et personne n'est dupe.
Afin d'obtenir une interprétation politique des évènements que nous avons
vécus ce dimanche sur la scène libanaise, il est important d'analyser les
faits sur deux échelles : régionale et libanaise.

A l'échelle régionale, ces incidents surviennent au lendemain de deux faits
majeurs: l'envoi du dossier nucléaire iranien auprès du conseil de sécurité
de l'ONU suite à la fin de non recevoir du régime de Téhéran à la commission
d'énergie atomique de l'ONU, et la victoire écrasante du Hamas lors des
élections en Palestine. Ceci sans mentionner la prise par la gorge du régime
syrien par l'ONU et les Etats-Unis.

Dans ce contexte, les caricatures du prophète ne semblent être que le
prétexte déclencheur d'une grande vague de radicalisation dans la région et
précurseur du bras de fer à venir entre l'occident et l'axe Syro Iranien
(les deux tiers de « l'axe du mal ! ») . D'ailleurs, ces caricatures avaient
été publiées il y a trois mois sans susciter pour autant une telle vague de
violence. Mais aujourd'hui, elles deviennent un outil de manipulation pour
galvaniser les foules afin de préparer le terrain à la confrontation.

L'Occident semble relever ce défit, et pour certains il semble même le
provoquer. Les dirigeants occidentaux ne tempèrent pas leurs prises de
positions, et les journaux européens, les uns derrières les autres, n'hésitent
pas à publier les caricatures « blasphématoires » du prophète alors que les
gouvernements européens se radicalisent tout autant que les islamistes sous
le couvercle de la défense du droit d'expression et des valeurs
démocratiques. Chacun des deux camps semble chauffer les esprits des siens
en préparation à une crise de plus grande envergure dont les prémices
commencent à peine à se montrer et qui se dévoileront tout probablement les
semaines à venir.
Dans ce contexte, la scène libanaise est devenue des plus complexes et
ressemble jour après jour à la veille du 13 Avril 1975. Alors que l'Alliance
Hariri-Joumblatt-Geagea semble être déterminée à régionaliser le conflit
pour le compte de certaines puissances en radicalisant leurs positions
contre la Syrie et les alliés de Téhéran au Liban, le Hezbollah quant à lui
semble se tirailler entre ses contraintes régionales, principalement
iraniennes, et sa volonté d'intégrer la vie politique libanaise. L'alliance
tripartite représentant le pouvoir des milices (PSP et FL) et de l'argent
(Al Mustaqbal), en voulant affronter le Hezbollah et faire tomber le régime
de Damas, agissent selon un plan qui va au-delà de la frontière libanaise,
alors qu'ils n'ont absolument pas les moyens de l'exécuter. Les Etats-Unis d'Amérique,
et ce quelque soit leur sincérité de vouloir aider le Liban, n'enverront
certainement pas un seul soldat américain pour protéger le pays des cèdres
et aider Hariri à exécuter un tel schéma - surtout pas après leurs pertes en
Irak.

Dans ce contexte, le Général Aoun joue un rôle des plus difficiles, celui d'écarter
les conséquences sur le Liban d'un nouveau conflit régional en essayant d'ériger
une « alliance » libanaise regroupant les forces vives du pays en rempart
contre les ingérences étrangères.

D'une part, il essaye d'éviter à la communauté chrétienne libanaise de
servir une fois de plus de couverture aux interventions étrangères, comme
fut le cas par exemple lors de l'entrée des troupes syriennes et israélienne
dans le pays. Dans cette optique, il a réussi à inverser la position de l'Eglise
Maronite ce qui évita aux chrétiens de revivre le cauchemar de Taëf et des
années 1990. Le Patriarche n'a-t-il pas désigné le Général Aoun, après que
la rue chrétienne ne l'ait fait, comme leader incontesté de cette communauté
? Le Général Aoun a réussi aussi à neutraliser une partie des politiques
chrétiens et musulmans prosyriens en les faisant intégrer dans son alliance
électorale à l'échelle nationale sous condition d'épouser son programme de
réforme et de renier avec le passé, ce qui nous évita bon nombre de
problèmes à ce jour.

D'autre part, et ce dès le premier jour de son arrivée à Beyrouth, le
Général Aoun tendit la main à Saad el Dine El Hariri en se rendant sur le
tombeau de son père, Rafic El Hariri, celui qui couvera politiquement la
corruption et l'occupation durant plus d'une décennie. Ce geste montrait la
volonté de tourner la page, de respecter la mémoire de l'homme, et de
laisser aux historiens le soin de le juger ! D'autres gestes concrets
suivirent mais la réponse de Hariri fut de ne pas intégrer le CPL dans le
gouvernement et de pousser vers la sortie d'autres forces vives du pays.

Le Général Aoun tendit aussi la main au Hezbollah pour entamer un dialogue
sincère afin d'éviter au Liban un nouveau bain de sang. Après l'assaut
politique lancé par Walid Joumblatt et par Saad el Dine El Hariri contre le
Hezbollah, le Général Aoun força le blocus qui allait pousser les chiites
dans les mains des syriens et des iraniens, et devint en quelque sorte la
force politique qui allait rapprocher l'Islam sunnite à l'Islam Shiite pour
éviter une régionalisation du conflit qui oppose ses deux communautés. Cette
action était symbolisée par sa proposition notamment de former un
gouvernement qui regrouperait les principales forces électorales du pays,
dans le but d'éviter un tel conflit mais aussi de faire face aux ingérences
étrangères.

Mais le Courant du Futur est à ce jour décidé de conduire sa bataille pour
le pouvoir jusqu'au dernier des forces libanaises ! Après avoir raflé la
majorité des sièges parlementaires grâce à la loi électorale conçue par l'ami
personnel de Rafic El Hariri, Ghazi Kanaan, il se lance aujourd'hui pour la
bataille présidentielle avec pour objectif de nommer une marionnette d'Al
Moustaqbal à la tête du pays en remplacement à la marionnette syrienne, et
ce pour continuer à gérer le pays comme si c'était une entreprise
personnelle au détriment des intérêts réel du pays et de la réforme.

Dans ce but, il était important pour Al Mustaqbal et le clan Hariri d'affaiblir
la position du Général dans les zones chrétiennes. Les guerres d'intoxications
lancées jointement par la LBC et par la Future TV, au services respectifs du
parti des Forces Libanaises et du courant de la Future TV, étaient conçues
pour faire passer une image du Général que l'ensemble des libanais ne
reconnaissent pas, celle d'un collaborateur des syriens et protecteur de
Lahoud. Pour exemple l'attaque diffamatoire lancée contre le Général Aoun
après l'assassinat de Samir Kassir et de Gibran Tueni, alors que dans les
deux cas, le gouvernement était responsable de leur sécurité.

Aujourd'hui, et alors que la bataille électorale de Baabda-Aley est devenue
une « guerre présidentielle », l'intérêt d'Al Mustaqbal est de renflouer les
Forces Libanaises sur la scène politique chrétienne, alors que ces derniers
et leurs alliés avaient été largement désavoués par l'électorat chrétien
lors des dernières élections. C'est d'ailleurs l'une des raisons principales
pour laquelle Walid Joumblatt garde le silence à ce jour dans la bataille de
Baabda-Aley. Hariri comme Joumblatt veulent montrer que la bataille est
purement chrétienne. Mais personne n'est dupe et la nomination de May
Chidiac par Saad el Dine El Hariri n'a trompé personne. Dans cette affaire,
nous ne pouvons qu'avoir une pensée pour May Chidiac, celle qui fût tout d'abord
victime d'un attentat à la voiture piégée, puis victime de la machine
électorale du couple Hariri-Geagea. En effet, elle fut « exposée » sur la
scène politique libanaise - et ce malgré sa fragilité évidente- dans le seul
but d'attirer la sympathie de la rue chrétienne au travers de ses
souffrances. Elle avait été présentée comme candidate du compromis alors que
le trio Hariri-Geagea-Joumblatt ne s'était pas concerté avec l'opposition à
ce sujet. Ce fut le comble du cynisme politique d'Al Moustaqbal et de leur
culte médiatique du pathos!

Les événements d'Achrafieh prennent alors tout leur sens, et ce dans un
contexte régional et local écrit ci-dessus. Au lieu que l'armée libanaise et
la police ne gardent les manifestants à quelques kilomètres de l'ambassade
du Danemark et des zones chrétiennes, ils firent rentrer les extrémistes au
cour même du quartier d'Achrafieh et les laissèrent semer la peur au sein de
la population chrétienne afin de faire raviver les hantises d'une guerre
religieuse. Ceci dans le but notamment de jeter la communauté chrétienne
dans les bras des forces libanaises supposées « sauver » les chrétiens du
danger « de la horde de musulmans libanais extrémistes ». Mais l'Islam
libanais n'est certainement pas représenté par cette foule d'inculte et
aujourd'hui plus personne n'est dupe, ni les chrétiens, ni les musulmans.
Seul le gouvernement Siniora est responsable de cette débâcle sécuritaire. L'action
sectaire semant la haine entre les communautés libanaise ne passera plus !

S'il continue à jouer avec le feu, le Courant d'Al Mustaqbal risque de
ruiner la sécurité et l'intégrité du pays après avoir ruiné son économie.
Suffit les blablas médiatiques de Saad el Dine El Hariri qui a passé la
journée du Dimanche à déclarer que ce qui touchait les chrétiens touchait le
Liban en entier, alors que c'est son gouvernement qui empêcha les forces de
l'ordre de protéger une partie de la population contre une horde de
fanatiques manipulée aussi bien par les syriens que par le gouvernement d'Al
Mustaqbal lui même. La communauté musulmane du pays, qui est des plus
modérées du monde arabe, n'a rien à voir avec ces agissements. Aujourd'hui,
tous les libanais sont menacés dans leur indépendance et dans leur sécurité,
et ce n'est plus au ministre de l'intérieur seul de démissionner mais au
gouvernement en entier de le faire afin de mettre enfin en place un
gouvernement de salut national qui assure la sécurité et qui arrête l'ingérence
étrangère au Liban. Plus de paroles Monsieur Hariri, mais enfin des actes !




but anyway they are brainwashed
they dont understand that lebanon cannot handle to be on one axe or another, they are preparing the next destabilisation.
At least hezbollah was never a part of the government during the syrian occupation like the future or joujou from the mountain.
maybe now the hezbollah wil act as a lebanese party and not a foreign part and this is the best deal that the CPL is working on

i dont care about the syrian regime, they are dead since they left lebanon, it s just now how ll be next to the syrian regime
i care about what happened yesterday
the biggest threat now for lebanon is the islamism and especially from the kind we got yesterday
it s a global regional threat and we can clearly see it with hamas in palestine winning the elections, with the elections in egypt where 1/3 goes to the muslims brotherhood and i surely prefer a weak syrian regime then an islamic syrian regime next to lebanon. we would face more destabilisation if such case happens.
the people that do not understand that or act toward one axe or another are fools and dumbs

now being realistic, there are convergencies and disvergencies.

06 February, 2006 22:45  
Anonymous Anonymous said...

Zadig,
You have been posting for a few weeks and very few , if any, of your posts seem to be either responsible or credible. May I suggest that you stop and rethink your positions if you intend to have anyone take you seriously.It should take more than a few hours for someone to rise to thje level of a saviour from being labeled a criminal. Consistency and clear thinking seem to be totally abandoned in your posts.. No one can be that fickle!!!!

07 February, 2006 00:09  
Anonymous Anonymous said...

ahahhaha....."Lets protect these two leaders." Your fuckin PRO syrian dickhead! Aoun is a PRO syrian rat and so is that monkey nasrallah. If Aoun thinks he is even going to smell the presidency by kissing ass then he is mistaken! You, whoever the fuck you are that posted this "lick nuts" post, should go fuck yourself. Are u a fucking dirty syrian? or are you like that faggot Joshua Landis and just pro syrian! GO FUCK YOURSELF AND FUCK AOUN, NASRALLAH, BERRI, LAHOUD, FRANJIEH, ARSLAN, EVERY FUCKING PRO SYRIAN ASSHOLE!

LEBANON FOR LEBANESE, DICKHEAD

07 February, 2006 00:24  

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